Il y a autant de voyages que de voyageurs. Les envies, mais les contraintes aussi, peuvent emmener deux personnes visitant le même pays dans des directions diamétralement opposées. Pour notre aventure océanienne, nous nous sommes rendus rapidement compte qu’il serait impossible d’y voyager comme en Asie où tout est très bon marché et c’est donc en grande partie le budget qui dirigea nos choix. Après réflexion, nous avons opté pour un savant – et comptable – mélange entre camping, auberges de jeunesse et logement chez l’habitant. Mais si les deux derniers modes d’hébergement ne posent pas de problèmes, le premier nécessite un certain investissement en terme d’équipement et les campeurs novices que nous sommes eurent à passer de longues heures à chercher la matériel adéquat.
Consacrer un article sur le sujet peut vous paraître étonnant, mais devant la jungle d’équipements disponibles, il est parfois compliqué de faire un choix. Ce fut notre cas. Le manque d’information et de connaissances nous a fait perdre beaucoup de temps et nous souhaitions que nos recherches puissent aussi profiter à d’autres voyageurs – en attendant le débriefing qui validera, ou non, dans quelques mois, notre sélection. Cliquez pour lire la suite de l’article »
Après avoir étudié les différentes solutions qui s’offraient à nous, nous avons décidé d’un commun accord, avec Marielle, de nous plier aux coutumes et aux traditions des voyageurs modernes en utilisant l’avion pour nous rendre en Océanie. Les autres propositions étaient bien plus originales, certes, mais il convient d’avouer qu’elles venaient aussi avec leur lot d’inconvénients : notre préparation physique n’était pas suffisante pour envisager une traversée à la nage, et nous nous voyions assez mal rejoindre notre destination dans un cargo maltais, entassés pendant des mois dans une étroite cabine au confort relatif et contraints à la promiscuité de l’équipage pakistanais. Une fois le projet validé, nous nous sommes donc mis à la recherche de vols en essayant d’économiser au maximum nos deniers. Petit retour d’expérience… Cliquez pour lire la suite de l’article »
Depuis que nous voyageons ensemble, nous avons déjà visité sept pays. D’aucuns diront que voyager coûte cher, que c’est compliqué. C’est vrai. Mais nos voyages nous ont appris que l’appétit vient en mangeant et que cette planète est si extraordinaire qu’elle rend le nombre des destinations à explorer infini. Cet appétit croissant pour le voyage et la découverte nous a ainsi conduits des hôtels-clubs de la Méditerranée aux villages reculés du nord du Vietnam.
La traversée que nous avons effectuée de ce dernier, en 2010, nous a permis, pour la première fois, de rencontrer des voyageurs au long cours. Ce serait mentir de dire que le récit de leurs expériences de tour du monde n’a pas fait germer dans notre esprit quelque idée d’aventure similaire. Mais il n’est pas aisé, même si l’envie est grande, de passer d’une promenade asiatique de vingt jours à six, huit ou dix mois de périple sur les cinq continents. Quels sacrifices implique un tel projet ? Et serions-nous prêts à les faire ?
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