En soutien au Vanuatu2

La fin de notre hiver et le début de notre printemps sont d’excellentes saisons pour partir découvrir l’Océanie où le temps et les températures y sont fort agréables. Le revers de la médaille c’est que février et mars sont aussi les mois les plus actifs en ce qui concerne les cyclones.

Lors de notre passage en 2014, nous avions essuyé les restes du cyclone Lusi en Nouvelle-Zélande, dans la péninsule du Coromandel – un cyclone de catégorie 1 qui avait fait 3 morts au Vanuatu et qui nous avait fait craindre le pire quant à notre séjour dans l’archipel ; puis il y avait eu Ita, un cyclone de catégorie 4 qui nous avait coincé à Alice Springs et qui avait failli nous priver des Whitsundays et de la Grande Barrière de Corail.

Les années passent et se ressemblent : un an jour pour jour après Lusi, le Vanuatu a subit la fureur de Pam, un cyclone de catégorie 5, provoquant d’immenses dégâts sur l’ensemble de l’archipel. Cliquez pour lire la suite de l’article »

Chasse aux aurores boréales à Reykjavik3

Un des grands objectifs de ce voyage en Islande était de réussir à apercevoir une de ces fameuses aurores boréales qui font la légende des pays nordiques. Et nous n’étions absolument pas résolus, à deux jours départ, à quitter ces terres sans voir les lumières danser. Le temps n’étant visiblement pas décidé à être clément pendant ne serait-ce qu’une journée, nous avons donc, à notre retour à Reykjavik, décidé de forcer le destin et d’appliquer à la lettre les recettes qui nous avaient été distillées par les locaux depuis notre arrivée. Cliquez pour lire la suite de l’article »

Silfra, l’entre deux continents3

Nous continuons à explorer le Cercle d’Or en nous attardant, cette fois, sur le dernier membre du fameux trio : le Parc National de Þingvellir qui regroupe le meilleur du dépaysement islandais : vallées, montagnes, volcans, lacs et même une forêt. Le site est d’ailleurs inscrit au patrimoine mondial de l’UNESCO, ce qui en fait un incontournable.

Petit aparté…
L’islandais possède quelques lettres inconnues de nous autres, notamment le « Þ » et le « ð », dont les prononciations se rapprochent du « th » anglais – le premier tirant sur le « s » et le second sur le « z ». Malgré toute notre bonne volonté, nous aurons fait rire quelques Islandais en essayant de répéter après eux quelques mots aux sonorités inconnues. Les mots et les noms sont cependant très logiques à comprendre. Eyjafjallajökull – le nom du fameux volcan qui paralysa l’Europe entière en 2010, se décompose de la manière suivante : « eyja » pour « île » – en l’occurence les îles Vestman, « fjalla » pour « montagne » et « jökull » pour « glacier », décrivant ainsi l’alignement géographique du lieu.  Easy ! Et « Þingvellir » se décompose naturellement en « Þing » pour « parlement » et « vellir » pour « plaine. Il s’y tint en effet en 930 le rassemblement originel d’un des plus vieux parlements du monde.
Enfin, tout ça pour dire qu’on s’en est tenu à « takk » (merci) et que c’était déjà pas mal. Cliquez pour lire la suite de l’article »

A la découverte du Cercle d’Or4

Nous ne pouvions décemment pas aller en Islande et passer à côté du Cercle d’Or, le trio gagnant de l’immanquable du pays à portée de Reykjavik. C’est le dimanche – après la halte à Stokkseyri – que nous avons donc mis le cap vers la Chute Dorée et le fameux Geysir. Cliquez pour lire la suite de l’article »