A moins de deux semaines du départ, force est de reconnaître que nous avançons avec des œillères, concentrés sur les derniers détails de l’organisation du voyage. La situation tendant à s’améliorer néanmoins, nous avons commencé à consacrer un peu plus de temps aux possibilités d’activités qui nous seront offertes là-bas. Puis, pour les compléter, en bons flemmards, nous nous sommes dit que nous allions vous mettre à contribution. Voilà notre proposition : envoyez-nous vos défis, nous tenterons de réaliser une fois au bout du monde ! Une idée, une envie, une bonne blague, n’hésitez pas : aidez-nous à ne pas passer à côté de quelque chose qui vous parait incontournable et obligez nous à prendre des photos, le tout dans le respect des quelques règles suivantes :
- vos défis ne doivent pas porter atteinte à notre intégrité physique
- vos défis ne doivent pas inclure l’intervention des forces de l’ordre
- vos défis ne doivent pas porter atteinte à l’intégrité de notre porte-monnaie
Inutile donc de nous proposer de faire des selfies la tête dans la gueule d’un crocodile vivant, nous refuserons. On compte sur vous : à vos claviers !
Les loueurs de campervans – ces vans aménagés pour pouvoir y manger et dormir – sont formidables. Pour décider le client de signer chez eux, ils déploient un arsenal d’arguments pour vanter les mérites de leurs véhicules. Devineras-tu, lecteur, l’argument choc brandi pour terrasser la concurrence ? Les airbags ? Vous n’irez probablement jamais assez vite avec ce parpaing sur roues pour qu’ils aient un intérêt. La fiabilité ? Ce ne serait pas un road-trip si votre van ne pouvait pas tomber en panne au milieu de nulle part. Non, cher lecteur, l’argument avancé par les agences de location est bien plus pragmatique : ils offrent la meilleure stéréo ! Entre les locations, les réservations d’hébergements ou d’activités, l’achat de l’équipement, les préparatifs accaparent tellement votre attention qu’ils vous feraient presque oublier de penser à cette compagne des longs trajets qu’est la musique. Car, vous en conviendrez, il serait bien inimaginable d’enquiller des milliers de kilomètres dans un silence de monastère ! Cliquez pour lire la suite de l’article »
Il y a autant de voyages que de voyageurs. Les envies, mais les contraintes aussi, peuvent emmener deux personnes visitant le même pays dans des directions diamétralement opposées. Pour notre aventure océanienne, nous nous sommes rendus rapidement compte qu’il serait impossible d’y voyager comme en Asie où tout est très bon marché et c’est donc en grande partie le budget qui dirigea nos choix. Après réflexion, nous avons opté pour un savant – et comptable – mélange entre camping, auberges de jeunesse et logement chez l’habitant. Mais si les deux derniers modes d’hébergement ne posent pas de problèmes, le premier nécessite un certain investissement en terme d’équipement et les campeurs novices que nous sommes eurent à passer de longues heures à chercher la matériel adéquat.
Consacrer un article sur le sujet peut vous paraître étonnant, mais devant la jungle d’équipements disponibles, il est parfois compliqué de faire un choix. Ce fut notre cas. Le manque d’information et de connaissances nous a fait perdre beaucoup de temps et nous souhaitions que nos recherches puissent aussi profiter à d’autres voyageurs – en attendant le débriefing qui validera, ou non, dans quelques mois, notre sélection. Cliquez pour lire la suite de l’article »
Après avoir étudié les différentes solutions qui s’offraient à nous, nous avons décidé d’un commun accord, avec Marielle, de nous plier aux coutumes et aux traditions des voyageurs modernes en utilisant l’avion pour nous rendre en Océanie. Les autres propositions étaient bien plus originales, certes, mais il convient d’avouer qu’elles venaient aussi avec leur lot d’inconvénients : notre préparation physique n’était pas suffisante pour envisager une traversée à la nage, et nous nous voyions assez mal rejoindre notre destination dans un cargo maltais, entassés pendant des mois dans une étroite cabine au confort relatif et contraints à la promiscuité de l’équipage pakistanais. Une fois le projet validé, nous nous sommes donc mis à la recherche de vols en essayant d’économiser au maximum nos deniers. Petit retour d’expérience… Cliquez pour lire la suite de l’article »