Durant les derniers jours passés dans l’outback, nous avons du manger notre pain noir. Nous étions partis de France avec l’intime conviction que le désert australien serait l’étape la moins dépendante de la météo. Nous avons appris, à nos dépens, après notre départ d’Uluru, que ce paramètre n’était pas à négliger. Cliquez pour lire la suite de l’article »
Avec un peu de retard, nous le concédons, voici les réponses à toutes vos questions existentielles ! Cliquez pour lire la suite de l’article »
Nous avons bien croisé des panneaux kangourous, et il est vrai que les rappels des contrôles radars sont assez fréquents. Nous avons bien vu des panneaux mentionnant des chameaux, ainsi que des virages. Par contre, rien n’indiquant le jet de boomarang par un touriste, désolés.
La bonne réponse est ci-dessous, en image. Cliquez pour lire la suite de l’article »
Après un court arrêt à Alice Springs – nous y reviendrons plus tard à la fin de notre séjour dans le centre – nous avons pris la route vers Uluru. Des routes quasi-désertiques arpentées par les touristes et les road-trains, ces énormes camions tractant jusqu’à quatre remorques. Le centre de l’Australie est mythique à plus d’un titre pour un européen, si bien que c’est la tête remplie d’images d’Epinal que nous avons abordé cette étape. Cliquez pour lire la suite de l’article »